Récemment, je suis allé déjeuner avec Vincent, un ancien collègue de cégep qui a, lui aussi, démarré une boîte en sortant de l’université. Son entreprise est en croissance, la mienne aussi, on voulait se rencontrer pour échanger et voir s’il existe des opportunités d’affaires.
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Déjeuner, café et victime
Ma fille me montre ce que c’est que d’être une gagnante!
J’adore mes enfants. Ils m’aident à être meilleur, à tous les jours :). Et hier matin, grâce à eux, j’ai été témoin d’une scène absolument savoureuse. Laissez-moi vous raconter.
Comme à tous les matins, j’ai préparé le déjeuner de Chloé et Félix, respectivement, une toast beurre d’arachides et 2 toasts à la confiture aux fraises. Mais ce matin là, les enfants avaient aussi chacun un beigne dans un petit sac en papier, acheté au Tim Horton la veille. Mon fils ouvre le sac et sort le beigne. C’était à prévoir: le glaçage du beigne avait collé sur le sac et le beigne s’en trouvait ainsi départie. Félix se met alors à chialer, il se transforme en mauvaise humeur incarnée, repousse le beigne, ne veut même pas le manger, met sa tête dans ses bras sur la table. Il chiale. Vraiment pas content le petit garçon.
Mon fils, le gagnant!
Depuis quelque temps, j’ai commencé à enseigner à mes enfants, mais plus particulièrement à mon fils, le concept de victime vs. bénéficiaire. Concept bien simple à comprendre pour nous, adulte, mais oh combien difficile à appliquer dans nos vies de tous les jours. L’idée est la suivante : devant toute situation, nous pouvons réagir de deux façons différentes. On peut être victime de la situation, c’est-à-dire subir, sans possibilité d’en tirer profit. On est alors victime d’un événement, d’une situation, d’un endroit, d’une personne, etc. On s’en remet alors à des facteurs extérieurs à nous pour expliquer ce qu’il nous arrive, pour justifier comment notre vie est difficile, etc. Regardez autour de vous, la plupart des gens, la plupart du temps sont victimes de quelque chose…
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